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Maître Wang xiang zhai
YIQUAN-KUNG-FU

 Le but de ce blog est de faire connaitre le yiquan appeler aussi ( dacheng chuan) ainsi que le kung-fu, dans toute la France et le monde entier.

Je m'appel Dominique CLAVEL instructeur fédéral d'art martiaux chinois, je travail le kung-fu depuis 1980. J'ai commencé avec maitre Dan SCHWARZ à pratiquer plusieurs styles, comme shaolin du nord et du sud, wing chun, tam toi etc...Ensuite j'ai étudier avec Ilias CALIMINTZOS, les styles tcha chuan, xiao hao chuan, et le yiquan.

Ensuite j'ai rencontré maître MING SHAN pour étudier le yiquan pendant 7 ans. Aujourd'hui il est partis à la réunion pour enseigner. Cette année je continu à progresser dans l'étude du yiquan en étant indépendant.

 

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Maître YAO CHENGGUANG dans la posture pingbu cheng bao zhuang.


 

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Moi même en posture de l'arbre dans un parc en chine pour la santé

 

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Le système du yiquan

Le système est structuré en 6 grandes catégories de pratiques qui visent, en travaillant sur l’intention, le ressenti et les déplacement, à atteindre un état d’équilibre entre relaxation et tension permettant ainsi d’utiliser cette force multi-directionnelle.

 

1. Les postures d’enracinement (zhan zhuang)

En tenant sur la durée, elles permettent, par une intention et une position corporelle adaptée, de trouver un équilibre entre décontraction et tension, et de ressentir cette force multi-directionnelle dans tout le corps sur des micro mouvements.

Il en existe deux types: les postures de santé (yangsheng zhuang) et les postures de combat (jiji zhuang). Les postures sont le fondement du système du yiquan.

 

2. Les tests de force en statique et en dynamique (shili)

Les tests de force en statique (dingbu shili) entraînent à sentir cette force dans tout le corps sur des mouvements plus amples et lents.

Les tests dynamiques (zoubu shili) permettent de ressentir cette force multidirectionnelle tout en se déplaçant. Les déplacement se font avec l’intention de « frotter » les pieds sur le sol, mais sans le toucher (mo ca bu)

 

3. L’explosion de la force (fali)

Cette force qu’on a ressentie sur des mouvements lents dans tout le corps, on apprend à la faire exploser dans toutes les directions avec toutes les parties du corps (tête, épaules, coudes, mains, hanches, genoux et pieds), en statique et en déplacement.

 

4. Les poussées des mains (tuishou)

C’est une pratique avec partenaire qui sert de préparation au combat libre rapproché. Tout  en gardant sa stabilité et avec un contact permanent entre les bras, on cherche à ressentir les vides dans la garde de son adversaire pour rentrer dedans et le déstabiliser en le poussant. En combat, la poussée se transforme en frappe.

 

5. Le sac de frappe / balle de coton

On va chercher à appliquer les fali sur un sac. Le but est de développer un maximum de puissance et de rapidité en utilisant un minimum de force, donc en restant toujours très souple.

 

6. Le combat libre (sanshou)

Dans l’absolu on apprend à se servir de toutes les parties du corps lors du combat. Le sanshou se fait avec protections pour éviter au maximum de se blesser.

 

A ça on peut aussi rajouter ce qu’on appelle L’essai du son (shi sheng) et la danse de la santé (jianwu) qui est un enchaînement libre qui combine toutes les techniques ensemble.

Cet article à été tiré du site  http://sensartsmartiaux.com

 

La simplicité et en même temps la complexité du système vient du fait que chaque partie est imbriquée dans l’autre et influe sur l’autre:

Travail du juanvu sur la vidéo pour apprendre à enchainer les mouvements d'essayer la force ( sheulis) et les mouvements explosifs (falis).

    • Travailler les enracinements va permettre de pratiquer les « shili »,
    • En travaillant les « shili » on va améliorer les postures.
    • Le principe est le même pour toutes les pratiques.
    • Pour tout renseignements et inscriptions écrire à clavel-dominique@bbox.fr